CECI n'est pas EXECUTE cadis : Séverine Labat

Médias |

Séverine Labat

  • « Le Martyre des sept moine de Tibhirine », documentaire de Séverine Labat et Malik Aït-Aoudia (une production de Peacock Production, 2012) diffusé sur France 3 le 23 mai 2013. Ce documentaire a pour ambition de prendre le relais du dernier plan du long métrage Des Hommes et des Dieux lorsque les moines disparaissent dans la forêt avec leurs ravisseurs. Le film relance l’enquête, minutieuse, presque policière, pour dévoiler les mystères d’un drame qui a bouleversé la conscience collective.

  • « La binationalité nuit-elle à l’appartenance ? », entretien avec Séverine Labat et Stéphane Rozès réalisé par Sabrina Kassa dans Regards.fr, 12 octobre 2011.

  • « La Laïcité en Tunisie ? Inch’Allah », article de Séverine Labat paru dans Le Nouvel Observateur, 20 septembre 2011.

  • « Ceux qui gênent sont les ex-colonisés », entretien avec Sévérine Labat, réalisé par Anne Roy, dans L'Humanité, 30 juin 2011.

  • « Bi-nationalité : La France à l’heure post-coloniale », article de Séverine Labat paru dans Le Nouvel Observateur, 24 juin 2011.

  • « Alain Finkielkraut ou la nouvelle pureté nationale », article de Séverine Labat paru dans Le Nouvel Observateur, 14 juin 2011.

  • « Binationalité : notre futur », article de Sévérine Labat paru dans Le Monde, 11 juin 2011.

  • « Monsieur Claude Goasguen est-il un français exemplaire ? », article de Séverine labat paru dans El Watan, 6 juin 2011.

  • « L’autre nationalité ? », débat sur France Ô le 26 mai 2011, avec Ivan Rioufol, éditorialiste au Figaro, Nacira Guénif, sociologue et maître de conférences à l’université « Paris Nord », Nicolas Dupont Aignan, député maire de l’Essonne et président de « Debout la République », Séverine Labat, politologue, chercheur au CNRS.

  • « Affaire des binationaux : "L'imaginaire français n'a pas achevé de se décoloniser" »,  entretien avec Séverine Labat réalisé par Akram Belkaïd, dans Le Quotidien d’Oran, 19 mai 2011.

  • « La binationalité au banc des accusés », article de Akram Belkaïd, avec des propos de Séverine Labat, dans Slate Afrique, 17 mai 2011.

  • Interview de Séverine Labat dans la matinale de France Inter, 15 mai 2011 (à la 14ème minute).

  • « Tribune : "Laïcité ? In chah allah" », article de Séverine Labat dans Le Nouvel Observateur, le 10 mai 2011.

  • « Le Maghrébin, l’Arabe, le musulman sont perçus en France comme une menace et un facteur de dissolution du lien national », dans Algérie News, 9 avril 2011.

  • « Binationalité franco-algérienne : ‘Le progressif désenchantement’ », interview de Séverine Labat sur Radio Kalima, 4 avril 2011.

  • « Le progressif désenchantement », article de Séverine Labat, et « La transgression de l’appartenance », article de Walid Mebarek, avec des propos de Séverine Labat, dans El Watan, 4 avril 2011 (page 11).

  • « Jean Jaurès et ‘l’affaire Madeleine’ : contribution au débat sur la laïcité », article de Séverine Labat paru dans Le Nouvel Observateur, 28 mars 2011.

  • « La guerre des deux France ? », article de Séverine Labat dans Le Nouvel Observateur de la semaine du 21 mars 2010.

  • « Sachez, Madame Brunel, et rappelez-vous… », article de Séverine Labat dans L'Humanité, 18 mars 2011.

  • « Une génération avide de liberté et de consumérisme », entretien avec Séverine Labat dans Le Progrès, 16 février 2011.

  • « Il ne s’agit pas de révolutions mais de transitions démocratiques », dans Algérie News le 13 février 2011.

  • « Egypte : "Moubarak a été l’agneau sacrificiel d’un régime qui reste en place" », entretien avec Séverine Labat, propos recueillis par Laurent Berbon sur Public Sénat,  11 février 2011.

  • « La révolution tunisienne est-elle exportable ? », sur i-Télé le 26 janvier 2011.

  • « Massacre de Sétif et récit national », article de Séverine Labat dans Le Monde, 26 juin 2010.

  • « Mieux comprendre la Turquie en 5 films », article dans Ouest-France dans lequel Séverine Labat revient sur l'itinéraire personnel et politique de Mustapha Kemal Atatürk, fondateur de la République turque, 5 novembre 2005.

  • « Algérie 1988 - 2000 autopsie d'une tragédie », commentaire sur le documentaire de Séverine Labat et Malik Aït-Aoudia (France, 2002) dans Le Monde, 13 février 2005.

  • « Mustapha Kemal Atatürk : Naissance d'une République », documentaire de 52 min réalisé par Séverine Labat (une coproduction de Compagnie des Phares et Balises & ARTE France, 2004), 2004.

    A l'heure où la Turquie frappe à la porte de l'Union Européenne où résident 3 millions de Turcs et où l'occidentalisation des pays musulmans est plus que jamais d'actualité depuis les attentats du 11 septembre et la guerre en Irak, nous nous proposons de comprendre ce qui a conduit la Turquie à devenir l'Etat moderne et laïque que nous connaissons aujourd'hui. Pour cela, il faut remonter à Kemal Atatürk, fondateur de la République Turque.
    Construit de manière chronologique, le film alterne images d'archives et interviews croisées d'historiens français et turcs. Interrogés sur la signification du mythe Atatürk, les historiens analysent les moments clés de sa vie, les raisons de son caractère, les fonctions qu'il remplit à la fois auprès de l'opinion publique turque et au sein des partis politiques qui se réclament aujourd'hui encore de lui. Un commentaire relativement sobre vient rappeler les grandes étapes historiques et recentrer la problématique.

  • « L'Algérie, une décennie de terreur », article de Justine Ducharne, avec des propos de Séverine Labat, dans Le Figaro, 7 octobre 2003.

  • « Algérie 1988-2000 : autopsie d'une tragédie », documentaire en 3 volets à 52 min réalisé par Séverine Labat et  Malik Aït-Aoudia (une coproduction de Compagnie des Phares et Balises & France 3 & France 5, 2002), diffusé sur France 5 le 5 au10 octobre 2003.

    Massacres, enlèvements, attentats depuis le fin des années 80, l'Algérie est en proie à une guerre fratricide. Terrain d'expérimentation de l'islamisme international, le pays sombre dans le chaos. Images d'archives et documents inédits à l'appui, cette trilogie retrace, autour des principaux protagonistes, jour après jour, l'histoire d'une tragédie humaine, politique et économique.
    Cette trilogie permet de comprendre comment, un quart de siècle après une guerre d'indépendance qui a laissé des traces de part et d'autre de la Méditerranée, l'Algérie s'est embrasée, enlisée dans un conflit interminable, d'une violence inouïe et imprévisible.
    Pour la première fois, des membres du gouvernement de l'époque et des opposants au régime, des militaires et des policiers chargés de la lutte antiterroriste, mais aussi des fondateurs du FIS (Front Islamique du Salut) et du GIA (Groupe Islamique Armé) acceptent de témoigner et racontent leur vérité.

  • « L'Airbus qui annonçait le 11 septembre », article de Isabelle Nataf, avec des propos de Séverine Labat et Malik Aït-Aoudia, dans Le Figaro, 9 mai 2002.

  • « Vol AF 8969 Alger-Paris, histoire secrète d'un détournement », documentaire de 52 min réalisé par Séverine Labat (une coproduction de Compagnie des Phares et Balises & France 3, 2002), 2002.

    Le 24 décembre 1994, un Airbus d'Air France était détourné à Alger par un commando islamiste du GIA. Après 54 heures de terreur et d'angoisse, les otages sont finalement libérés sur l'aéroport de Marignane par le GIGN. "Les terroristes voulaient se faire exploser au-dessus de Paris" affirment les passagers au sortir de l'avion. Les attentats de septembre 2001 avaient bien connu un précédent. Aujourd'hui les langues se délient et de nouveaux éléments permettent de faire la lumière sur les motivations des terroristes du GIA qui faillirent réussir le premier attentat kamikaze aérien.

  • « Maroc : les défis de Mohammed VI », documentaire de 56 min réalisé par Jean-Michel Vennemani, co-auteur Séverine Labat (une coproduction de Compagnie des Phares et Balises & ARTE France, 2001), soirée "Théma", 2001.

    Un roi jeune, populaire, accessible au commun des mortels, voire branché : telle est l'image que Mohammed VI impose dès son arrivée sur le trône, rompant avec le style autocratique de son père. "M6", comme l'ont surnommé les jeunes Marocains, tranche en effet, par ses manières, avec la distance qu'imposait Hassan Il à ses sujets. N'ayant pas souhaité s'installer au Palais, le jeune souverain continue d'habiter sa résidence privée. Il conduit lui-même sa voiture et a congédié le harem du Palais. On le dit simple et sensible au sort des plus démunis. Très vite, il a affirmé sa volonté d'indemniser les victimes d'emprisonnements arbitraires et les familles de disparus. Le retour d'Abraham Serfaty, célèbre opposant emprisonné puis exilé par Hassan Il, celui de la famille de Ben Barka et le limogeage du ministre de l'intérieur de son père, Driss Basri, sont autant de preuves tangibles de la volonté du nouveau monarque d'inscrire son règne sous le signe de la rupture.
    Ce documentaire déroule la biographie politique du jeune roi. Parallèlement, les réalisateurs interrogent des témoins importants, ministres, politologues, journalistes, et rencontrent des jeunes Marocaines de Casablanca qui font part de leurs aspirations et mettent en lumière les blocages de la société.

EHESS
CNRS

flux rss  Actualités de l'EHESS

Dernière modification : lundi 25 novembre 2019